Prénom & Nom
► ID IN REAL LIFE ◄
■ Prénom — Aoi
■ Nom — Tatsuya
■ Sexe — Girl ~
■ Âge — 18
■ Date de naissance — 15 Juillet
■ Orientation — Bisexuelle
■ Nationalité — Japonaise
► INFO BONUS ◄
■ Occupation — Lycéenne
■ Couleur Préférée — Gris
■ Plat Préféré — des Tempura de crevette !
■ Passe-temps — les jeux vidéos (surtout les MMORPG) ; le théâtre ; sortir en ville ; les réseaux sociaux ; regarder les gens virtuellement s'autodétruire ~
■ Devise — "Quel mal y-a-t-il à ne pas regarder ce qui nous est désagréable ?"
■ Aime — les conflits sociaux ; détruire la réputation des gens ; être une amie discrète pour des gens idiots ; les oiseaux ; chatter ; pirater des comptes ; gagner sans se forcer de temps en temps ; tryhard (beaucoup s'investir) un MMORPG comme une dingue ; manger du riz aigre-douce avec des crevettes et manipuler des gens avec le sourire ~
■ Déteste — le bleu ; le vert ; la mer (sauf les crevettes) ; les chiens ; ses parents (même si elle le cache bien) ; se projeter dans l'avenir ; perdre à un jeu ; pire, perdre à un MMORPG ; se faire prendre à son propre jeu sur les réseaux sociaux ; et franchement perdre, juste perdre ~
PHYSIQUE & PSYCHOLOGIE
Un ciel obscurci par les gris nuages typiquement Tokyoïte va paraît-il bien au teint de cette demoiselle à la présence effacée. Les paysages urbains dans leurs ensembles font écho à la personnalité moderne d’une lycéenne qui malgré son prénom, n’aime décidément pas la mer, le bleu ou le vert. Les profondeurs sont autant d'écueils qui lui font défauts. Et au jour présent de la société japonaise, ce qui nous effraie… mieux vaut l’éviter. Il faut changer de trottoirs, de rues, de quartiers et continuer de marcher sans regarder ni affronter les problèmes quels qu’ils soient. C’est en tout cas la façon de penser et d’agir de cette mignonne adolescente de dix-huit automnes.
Ses cheveux châtains et mi-longs bouclent souvent sur les pointes, formant des mèches aussi rondes que sa poitrine est plate. Un petit complexe qu’elle ignore en ne s’autorisant que de très courts moments devant un miroir. Son visage fin est souvent marqué d’un sourire doux-amer et nostalgique d’une vie qu’elle n’a pas vécu. Quand à ses yeux d’un vert qui jauni avec les années, ils sont sa plus grande fierté. Peut-être même qu'ils finiront dorés qui sait ? Voilà sa petite touche d’individualisme dans la masse des autres élèves, des autres filles, de tous les autres.
Et ce n’est pas son style vestimentaire qui va la distinguer ! Surtout avec cet uniforme aux tons bleus qui lui déplaît tant. Difficile de l’ignorer celui-ci, alors elle serre les dents, discrètement et avec une force que seuls ceux habitués depuis aussi longtemps à détourner le regard font preuve.
Aoi a parfois rêvé d’être plus sociable. De ne plus avoir peur de faire le premier pas et d’être déçue. Mais la vérité est qu’elle se complaît bien dans cette situation, loin des autres. Et le simple fait de s’en plaindre, à ses quelques amies, ou sur les réseaux sociaux, n’est qu’une infime partie d’un processus de victimisation dont elle sait être le moteur. La lycéenne est maligne sans parler d’intelligence car ses notes ne suivent jamais vraiment. Pas assez pour se soigner elle-même de ce qu’elle est devenue en tout cas.
Au-delà de ce portrait se trouve un masque assez bien travaillé d’une fille rêveuse qui aime sa ville et son quotidien IRL, ou in real life comme on dit. La femme en devenir est face à sa dernière année de lycéenne et elle ne compte pas échouer, du moins en apparence. Car dans les faits cela lui importe tellement peu… comparé à sa vie virtuelle.
Sa passion pour les jeux est la distraction qui ne l’a jamais déçue ! Et c’est principalement au travers des MMORPG qu’elle s’est épanouie le plus, affinant son travail théâtral, sa capacité à s’inventer une vie et un masque à porter au quotidien. C’est d’ailleurs pour ça qu’elle fait partie du club de théâtre de son lycée. L’épanouissement dans l’accomplissement des quêtes, l’émotion dans la découverte des histoires et des personnages, le plaisir malsain et même salace de pouvoir être qui elle veut… et incarner gratuitement la lie de la société d’un jeu en ligne. Harcèlement, divulgation d’informations personnelles, piratage, diffamation…
Oui, Aoi est devenue un monstre virtuelle.
Et elle adore ça.
HISTOIRE
Tatsuya Aoi est née un magnifique jour d’été dans un hôpital du quartier de Setagaya, au sud-ouest du centre-ville. Ses parents, deux vétérinaires de carrière et d’idéologie, furent les plus heureux de tout Tokyo ! Comme n’importe quel parent ayant désiré aussi ardemment avoir un enfant. Il faut dire que la mère Tatsuya avait eu des difficultés à enfanter, et cela c’est très vite ressenti dans l’éducation de leur fille unique.
Encadrée et surprotégée dans sa petite enfance, Aoi fût placée dès le début de sa scolarité dans un établissement privé. De ceux qui font passer un concours à des gosses en bas-âge pour voir si leurs parents ont réussi à leur inculquer plus de choses que la moyenne avant même le début du long calvaire qu’est l’éducation japonaise. Il est vrai qu’à cet instant, la petite fille ne souhaitait qu’une chose : l’approbation chaleureuse et totale de ses parents dans chacune de ses réussites !
Tout allait d’ailleurs très bien pour elle, et c’est d’ailleurs pour cette raison que le père Tatsuya eut une idée géniale : quoi de mieux pour responsabiliser une enfant que lui offrir un animal de compagnie ? Surtout que pour deux vétérinaires, ils avaient paradoxalement bien scindés leur vie professionnelle de leur espace personnel. Une petite entorse donc au quotidien de cette famille qui a vu l’arrivée d’un petit chien Shiba typiquement japonais. Aoi était très jeune, et ce qu’elle aimait le plus dans ses livres d’images et d’animaux, c’était les oiseaux ! Aussi, par un hasard amusant la petite n’appela pas son nouveau compagnon Inu, mais Tori. Toritori pour être exact.
Toritori l’accompagna durant toute son enfance et participa bien, comme le voulaient les parents d’Aoi à la responsabiliser. Malheureusement et comme l’écho d’un miroir, la petite couva beaucoup trop son camarade, qui succomba d’obésité au milieu de sa seconde année de collège. Cet événement en apparence anodin eut un effet traumatisant sur cette jeune fille studieuse et concentrée qu’était devenue Tatsuya-chan.
Après tout, c’était de sa faute si Toritori était mort au final non ? Si elle était sortie plus souvent avec lui, si elle avait eu moins peur du monde extérieur, si elle-même n’avait pas été si choyée…
A l’époque, la collégienne pesait 60 kilos pour 1m49. Avec la compréhension notable du regard des autres, mais surtout de l’apparition d’un sens critique, Aoi démarra immédiatement un renouveau drastique de sa personne. Et ses parents dans le processus ? D’une certaine manière leur fille suivait l’exact tracé qu’ils avaient fait pour elle, attendant qu’elle apprenne de ses erreurs comme on éduque un chien à coup d’électrochocs. C’est comme ça que la jeune fille le vécu en tout cas.
Crise d’adolescence, régime forcé, exploration urbaine, reconnexion à la vie citadine et scolaire, Tatsuya fût de tous les combats et de toutes les batailles. Sa taille revint à un idéal plus acceptable sur sa première année de lycéenne, là où le regard des autres devient vraiment contraignant. Trop parfois, et l’adolescente connue ses premières déceptions amicales, puis amoureuses, avant d’être reléguée au tronc commun de la vie lycéenne. Elle n’avait rien pour vraiment se distinguer des autres, comme un animal unanimement normal au milieu d’un parc animalier de frères et de sœurs de la même portée.
C’est ainsi qu’elle découvrit le plaisir de la communication virtuelle. Après tout, si son apparence sans relief et sa personnalité trop terre à terre ne séduisent pas les gens de sa classe ou du lycée, ce n’est pas pour autant qu’elle doit et veut abandonner le combat ! Et que dire de ces expériences, de ces chat sur portable, de ces rencontres IRL dans Tokyo ? Qu’ils sont l’exutoire dont elle avait besoin pour décompresser de ce quotidien devenu plus oppressant qu’agréable.
Un véritable réseau virtuel commença à se bâtir avec et autour d’elle. Et Aoi comprit vite qu’être naïve sur les réseaux sociaux n’allait pas l’aider, tout autant que l’honnêteté d’ailleurs. Ici, pas besoin d’être honnête pour être intéressante et se bâtir une réputation ainsi qu’une nouvelle vie ! De nouveaux amis, de nouveaux contacts et même de nouvelles distractions ! Tout d’abord des jeux sur portable, puis sur ordinateur jusqu’à enfin sauter le pas d’un jeu à abonnement payant ! Ce fût donc, très excitée, que Tatsuya-chan, aka Sherazade dans les jeux vidéos, entama un premier MMORPG, puis un autre, et encore un autre… la suite on la connaît ! Aoi est une mordue d’univers virtuels et elle en connait un rayon en la matière ! Micromanagement, économie dématérialisée, stratégie de combat… son intelligence au service de son plaisir, pour de bon !
Bien sûr ce changement de comportement ne vint pas du jour au lendemain et cela commença à s’en ressentir sur ses notes en deuxième année de lycée. L’adolescente n’était pas dupe : il lui fallait absolument trouver un moyen de berner son monde avant que ses parents, ses professeurs ou ses proches IRL n’en viennent à se questionner sur ses absences de plus en plus fréquentes aux multiples sorties qu’elle organisait jusque là, aux explorations urbaines et aux séances de dégustations dans Tokyo. C’est pour cette raison qu’elle s’inscrivit au club de théâtre de son lycée dans un premier temps, puis qu’elle trouva une sorte de rythme de croisière entre sa vie étudiante et virtuelle dans un second temps.
Puis arriva la dernière tuerie du MMORPG sur le marché : Hateshinai no Sekai.
Maintenant, la suite est à vivre au présent, et plus au passé.
AVATAR FICTIF
► ID IN PROGRESS ◄
■ Nom — Sherazade
■ Sexe — Male ~
■ Classe — Thief
■ Rôle — DPS
■ Arme Principale — Cimeterre & Kriss
■ Ville de Départ — Yakasara Doku
► CARACTÈRE ◄
■ Amical ■ Communicatif ■ Précis ■ Chatismatique ■ Discret ■ Informateur ■ Marchand Inné ■ Acrobate
■ Tricheur ■ Mauvais Perdant ■ Faux ■ Divulgateur ■ Traître ■ Harceleur ■ Sans Gêne ■ Obsessionnel
PHYSIQUE EN BREF
Sexy et charismatique, Sherazade est construit comme un conte des 1001 nuits dans un contexte japonisant. Autrement dit, la vision distordue du voleur aux aventures rocambolesques sorti tout droit d’un contexte arabisant fantasmé par Aoi. Ce qui fait surtout du personnage, de part le nom et l’apparence, un antagoniste ambiguë d’anime.
Ce beau jeune homme d’une vingtaine d’années aborde une chevelure blonde dont les mèches tombent sur des yeux d’or brillants comme nimbés de mana et d’énergies surnaturelles. Sur une peau blanche qui ne voit que peu le soleil reposent des vêtements à mi-chemin entre les djellabas et sarouels mixés avec des kimonos et des vêtements sortis d’un jeu médiéval japonais.
Les teintes de couleur tournent toujours autour du gris, de l’ocre et du sable, et il se promène avec un cimeterre (une lame courbe) à la ceinture avec un kriss (une dague rituelle) cachée dans les replis de ses vêtements. On peut parfois le confondre avec le FIGHTER à cause de cette particularité mais dès qu’il bouge le doute n’est plus permis !
Le pseudo qu’Aoi a choisi lui vient d’un chat téléphone où le hasard lui a fait choisir le nom d’un personnage d’anime qu’elle regardait à la même époque : Sherazade.
Et toi dans tout ça?
■ Surnom — Eleven
■ Âge — 27
■ Votre fréquence sur le forum? — 1/2 fois par semaine
■ Comment vous êtes parvenu jusqu'à ici? — invité par Izaya-chan ~
■ Autre truc à dire? — j'adore Hack, j'espère bien trouver une ambiance en forum RP ou instaurer dans mon RP une ambiance de ce genre ! sinon en vrai c'est plutôt cool de jouer ce concept sur un forum et j'avais pas souvent vu ça alors, j'suis venu !
■ Provenance de votre/vos avatar(s) — Zaizen Aoi / Yu-Gi-Oh! VRAINS |&| Kise Ryouta / Kuroku no Basuke !