Prénom & Nom
► ID IN REAL LIFE ◄
■ Prénom — Izaya
■ Nom — Zetsu
■ Sexe — Féminin
■ Âge — 24
■ Date de naissance — 31 octobre
■ Orientation — Pansexuelle
■ Nationalité — Japonaise
► INFO BONUS ◄
■ Occupation/métier — Coursier - Ecrivain
■ Couleur préférée — Rouge
■ Plat préféré — Tout ce qui est à base de Gingembre et de Wasabi
■ Passe-temps — écrire, chanter, faire de la moto, observer les gens, jouer aux jeux-vidéos, les jeux de cartes et le Shogi.
■ Devise — “Les gens espèrent toujours qu’on les remarque au milieu de la foule, moi je les remarque toujours avant que la foule ne les étouffe.”
■ Aime — le wasabi, le gingembre, les serpents, la moto, les belles peintures, la manipulation, la suggestion, le lancer d’armes, le sarcasme, les conflits politiques et sociaux, le shogi, le go, le mahjong, les cartes de tarots, les jolis couteaux, la déchéance humaine et sociétale, l’alcool fort et la cigarette.
■ Déteste — les gentils, les naïfs, les chats, les flics, les gens honnêtes et bienveillants, la bière, les échecs, les histoires de fantômes, les croyants.
PHYSIQUE & Psychologie
Invisible quand elle ne veut pas se faire remarquer, cette fille au prénom de garçon sait user de sa présence et de son physique. Brune, les cheveux longs et les yeux verts, elle ressemble en tout point à une japonaise de ce qu’il y a des plus classiques : si on oublie la forme légèrement arrondie de ses yeux et leur couleur qui atteste de quelques parents gaejin. Ses gênes occidentaux lui offrent une poitrine plus volumineuse que la moyenne et une grande taille : 1m70 restant une norme plus masculine que féminine au Japon.
Un sourire narquois semble toujours orner ses lèvres, et pour peu que l’on s’y intéresse la jeune femme possède une éternelle malice dans les yeux, comme un éclat de lumière au milieu d’un masque social impeccable. Impeccable ? Ce serait mal la connaître. Car si aux yeux de tous la demoiselle peut paraître comme le parfait caméléon social, il ne suffit que de quelques minutes de conversation pour se rendre compte de l’étendue de sa psyché, bien moins innocente et plus pernicieuse qu’elle ne veut bien le montrer. Izaya aime à faire tourner en bourrique son monde, aime tromper, aime la méchanceté. Pourtant elle ne sera jamais la première à planter un clou dans le cœur de ses victimes, bien au contraire : si elle peut porter son aide à quelqu’un pour mieux la blesser et l’utiliser, elle n’hésitera pas. Peu loyale et sans morale, Izaya vit pour le jeu et la curiosité. Mais elle peut rapidement se montrer capricieuse et rancunière lorsqu’elle a un objectif à atteindre.
Izaya aime tout le monde. Ou alors, elle n’aime personne : ses propres parents se posent encore la question. Tantôt docile et souriante, elle peut décider en une seconde de se transformer en véritable démon de la perfidie et de la colère, par simple envie. Mais heureusement, tout cela reste la plupart du temps bien caché sous un masque social qu’elle entraîne depuis des années.
Pour son style vestimentaire, c’est bien simple : Izaya s’adapte à son environnement. Une course à faire ? Elle enfile une tenue de cuire et son casque. Une dîner chic à Roppongi ? Une robe longue et des talons hauts, sans oublier bijoux et autres parures. Une virée à Shibuya ou à Ikebukuro ? Un pull et une jupe en cuir feront l’affaire. Car s’il y a bien quelque chose qui définit la jeune fille, c’est cette capacité à connaître sa ville natale comme sa poche. Et elle en joue, partout, tout le temps, et en toute circonstance. Mais malgré toutes ces qualités qui n’en sont pas toujours, la jeune fille a beau être douée de ses mains et agile au lancé, elle reste une jeune femme peu physique avec une mauvaise endurance. Ses jambes ne la portent pas très loin lorsqu’il s’agit d’athlétisme, elle ne sait ni grimper, ni ramper. Sa force équivaut à celle d’un nain unijambiste : non, décidément, Izaya n’est pas faite ni pour se battre, ni pour le sport. En revanche, elle sait se servir de sa tête, et adore ça.
Histoire
Fille d’un médecin à la charge du clan de Yakuza dont sa femme est lieutenante, la famille Zetsu n’a pas suivis un cursus familial classique. Et pourtant, la petite Izaya n’a jamais manqué de rien, y compris de l’amour de ses deux parents. Tokyoïte jusqu’au bout des ongles, Izaya voit le jour à la clinique où son père travail en tant que chirurgien dans le quartier sud d’Adachi. Ses parents vivent dans une résidence animée du Kabukicho, où sa mère passe le plus clair de son temps pour des raisons qui échappent à Izaya dans son plus jeune âge. Aimée et choyée, l’enfant reçoit une éducation des plus strictes dans une école de bonne réputation dès les classes élémentaires. Dès lors, elle fait la fierté de ses parents avec ses résultats scolaires, démontrant une logique et une intelligence presque inouïe pour son âge. Mais comme les bonnes nouvelles n’arrivent jamais seules, l’histoire d’Izaya commence réellement lors de sa troisième année en école élémentaire.
Quelques incidents d’ordre mineurs éclatent dans l’école où Izaya se trouve. Des bagarres entre filles, des histoires de triches, il n’y a jamais de suite. Si l’enfant des Zetsu ne semble pas impliquée dans ces affaires au premier abord, son professeur principal n’en pense pas moins : un jour il appelle les parents d’Izaya pour les convoquer. Pensant que le professeur allait une nouvelle fois féliciter leur fille, la mère Zetsu prend de son temps pour aller à la rencontre de l’enseignant. Mais alors qu’elle s’est habituée aux multiples compliments, quelle n’est pas sa surprise de découvrir un visage inquiet et préoccupé devant elle. Le professeur lui confie alors quelques constats alarmants : si certes, Izaya ne démontre aucune hostilité envers ses petites camarades et fait preuve d’un respect des règles incroyable en plus d’avoir d’excellentes notes, divers témoignages démontrent que la petite s’amuserait à échanger des informations contre d’autres pour ainsi créer des conflits de manière “accidentelle”. Le pire étant que la plupart des enfants lui fasse confiance et ne l’accuse jamais, bien au contraire. De manière silencieuse et sournoise, Izaya a obtenu de ses camarades un respect et une autorité que même son professeur n’a pas. Lorsqu’Izaya demande quelque chose, elle l'obtient. Et si le professeur ne l’accuse pas encore d’abuser ses innocentes camarades, ses mots font comprendre à la mère de l’enfant qu’il n’attend que d’en trouver une preuve.
Suite à l'entretien, la mère d’Izaya la retire de l’école publique et lui fait suivre essentiellement des cours à domicile. La petite en est d’abord très troublée, mais devant l’indifférence et la neutralité de sa génitrice, elle abandonne vite l’idée de trouver réponses à ses questions. Ce n’est qu’au seuil de ses 12 ans qu’Izaya s’aperçoit que sa mère ne l’avait pas retiré de l’école publique pour la punir, mais pour mieux la préparer. Durant toute son adolescence, Izaya suit sa mère trois fois par semaine dans divers bars. La consigne de sa mère a toujours été simple : “contente-toi d’observer les gens autour de toi”. Et la petite s'exécute. Elle aide ainsi sa mère et par extension quelques uns de ses supérieurs à dénicher les menteurs, les fourbes, les gens malhonnêtes, les naïfs, et les gens fiables. Chose très appréciée dans un quartier où l’illégalité est plus une norme qu’une tolérance acceptée.
Izaya ne réintègre un cursus “classique” que pour ses trois années de lycée, pour mieux forger son caractère et ses relations d’après son paternel. Car si Izaya est une bonne observatrice et mémorise beaucoup de choses, elle n’est pas très sociable et n’aime pas le contact avec autrui sans pourtant être timide.
Ses années lycées se déroulent tranquillement pour la jeune fille : elle se découvre un goût prononcé pour les jeux de plateaux, les jeux vidéos, la musique, la mécanique, et les prédictions de tarot. De temps à autres, quelques élèves se suicident dans son lycée. Trop de pression peut-être, Izaya n’est jamais concernée. La mère de la jeune fille tente de l’initier aux arts du combat, mais les efforts donnés ne sont pas productifs ; Izaya n’a aucune force et n’arrive même pas à courir correctement. En revanche, elle se dévoile être d’une précision et d’une adresse remarquable, surtout lorsqu’il s’agit de couteaux. Méthode désapprouvée par le Docteur et père Zetsu, Izaya continue tout de même d’aider sa mère dans les bars et clubs du clan de cette dernière. Mais à la surprise générale, lorsqu’elle se voit proposer de rejoindre le clan régnant sur le quartier Kabukicho et de suivre les pas de sa mère, Izaya refuse, prétextant que l’activité et l'affiliation à un clan de mafieux n’est pas assez amusante.
Son diplôme d’études en poche, Izaya se lance dans une profession libérale et indépendante qui lui fait de l’oeil depuis le début de sa scolarité : coursier tokyoïte. A dos de sa moto, elle porte colis et dossiers d’un bout à l’autre de la ville, et ce à n’importe quelle heure de la journée. Très vite et malgré son désir de liberté, Izaya se voit proposer quelques contrats en provenance du clan de sa mère, car un coursier est tout de même une personne bien pratique. Claire sur le fait qu’elle accepter également les offres d’autres clans, Izaya débute ainsi sa carrière, acceptant de temps à autres des suppléments de contrats qui consistent à rester à certains endroits pour obtenir des informations sur les gens. Pour le jeu et parce que le monde n’est qu’un grand plateau de shogi, Izaya se lance sur cette voix.
Cela fait maintenant quelques années qu’Izaya a quitté le domicile familiale pour s’installer dans l’arrondissement de Shinjuku, proche de la gare au nord du quartier. La jeune fille vit au rythme qu’elle décide : une clope entre les lèvres ou une sucrerie emprisonnée entre ses dents la plupart du temps, Izaya est partout et nul part à la fois. Dans un bar à Ikebukuro en train de rédiger ses idées pour son prochain roman ou dans une salle d’arcade, la jeune femme aime à déambuler et à rencontrer des gens. Que ce soit désiré, intéressé, ou non. Son amour pour le MMORPG de la société Shinki prend dès sa sortie : Izaya a toujours été séduite par ce genre de jeux, où l’on peut se maquiller et se transformer en une toute autre personne. Ainsi, lorsqu’elle a le temps, dans un cybercafé ou dans son appartement, elle change de forme pour errer dans ce monde fantastique aussi dense et varié que sa réalité.
Avatar fictif
► ID IN PROGRESS ◄
■ Nom — Kanejin
■ Sexe — masculin
■ Classe — Fighter
■ Rôle — TANK
■ Arme principale — Nodachi
■ Ville de départ — Aether
► CARACTÈRE ◄
■ Joueur ■ Attentif ■ Fort■ Endurant ■ Pragmatique■ Déterminé ■ Passionné ■ Rapide
■ Arrogant ■ Tête brûlée ■ Solitaire ■ Capricieux ■ Bourrin ■ Sans morale ■ Instable ■ Indiscipliné ■ Impatient
Physique en bref
Grand et fort, Izaya a construit son personnage à l’image des samouraï du clan Shimazu de l’ère Sengoku : sur un long kimono beige la silhouette d’un homme au regard presque frénétique avec les cheveux châtains portés courts est armurée de rouges et d’or. Des épaulières recouvrent le haut de ses omoplates rejointes par le haut d’un ensemble de kote et tekko sur chaque bras. Des cuissards et des jambières protègent ses jambes, mais dans la folie de son design le personnage ne présente aucun plastron, estimant que s’il est blessé c’est qu’il n’était pas assez fort.
Le pseudonyme vient du préfixe Kane (兼) qui signifie impatient et du suffixe Jin (甚) qui signifie excessif, extrême.
Et toi dans tout ça?
■ Surnom — Akaracthe ou Lyxie
■ ge — 22
■ Votre fréquence sur le forum? — à déterminer. Si l’ambiance et l’univers me plaisent vraiment (ce qui est parti pour être le cas) ça peut monter jusqu’à ⅘ fois par semaine.
■ Comment vous êtes parvenu jusqu'à ici? — J’ai vu plusieurs annonces sur facebook
■ Autre truc à dire? — Le forum est très beau, de 1, et ensuite l’idée me plait vraiment beaucoup. Ca faisait un moment que j’attendais de tomber sur la perle rare… et je l’ai peut-être trouvé !
■ Provenance de votre/vos avatar(s) — L’avatar d’Izaya est un genderbend du protagoniste Orihara Izaya dans Durarara, l’avatar de Kanejin est celui de Shimazu Toyohisa dans Drifters.